Le forum des associations, samedi 6 septembre, a été l’occasion d’inviter aussi les Néojarnais, avec les élus, pour leur présenter la commune, ses atouts, ses projets et sa vie au quotidien. Sur une quarantaine de nouveaux habitants, seule une petite dizaine a répondu présent. Le maire, Vincent Coppolani, entouré de quelques conseillers, a déclaré : « Notre commune assure des compétences qui sont de plus en plus réduites, de plus en plus passent à l’agglomération. Mais ce qui nous monopolise le plus, c’est le respect de notre budget dont celui consacré en partie à la petite enfance, au scolaire, péri ou extrascolaire ». Et d’ajouter : « Beaucoup de services sont pris en charge par plus de la moitié de notre personnel. Il y a également le projet d’un nouveau groupe scolaire en remplacement de notre école excentrée et proche de la départementale. Et soulignons, notre diversité culturelle et associative, bien représentée aujourd’hui dans notre gymnase ».
Vincent Coppolani a surtout mis l’accent sur la Communauté d’agglomération et les moyens mis à disposition pour se rendre à La Rochelle avec l’attrait de la Coursive, la Sirène ou de la médiathèque. Il a mis en avant la mobilité facilitée avec des transports en commun avec des fréquences plus importantes, ou encore à vélo avec la création de pistes sécurisées. Il a ainsi apporté des réponses aux questions nombreuses sur ce sujet, reconnaissant qu’il reste beaucoup à faire.
« Nous ne sommes pas arrivés à La Jarne par défaut »
Parmi les invités, un couple, Aurélien et Caroline, 47 et 41 ans, et leur fille Aubane, 8 ans, arrivés d’Alsace depuis plus d’un an. « Une mutation professionnelle nous a amenés d’abord dans la région et ensuite à La Jarne que l’on a découverte un peu par hasard. On cherchait à s’installer et ça nous a paru le bon endroit, entre La Rochelle et les plages », raconte le couple avant d’ajouter : « C’est une commune de taille moyenne avec à la fois des commerces, une offre culturelle, une école, un centre de loisirs. Nous ne sommes pas arrivés à La Jarne par défaut, il y a d’autres communes où on ne serait pas allés. Et puis l’immobilier restait dans un budget acceptable pour nous ».