Pour nous, musiciens, le Violon est un festival mythique. Je prends ça comme une grande chance. D’autant plus qu’avant de monter sur la grande scène, j’ai pu participer à « À chacun son court » avec Yvan Cassar sur le court central du Garden Tennis dans le cadre d’Un Violon sur la ville. C’était amusant pour moi qui, jeune collégien, voulais être joueur de tennis.
Vous avez joué au sommet du Kilimandjaro. Cette fois, ce sera la plage. Vous allez passer de la montagne à la mer…
C’est deux salles deux ambiances [rires]. Je suis parti en Tanzanie en mars dernier pour l’association Mécénat chirurgie cardiaque afin de récolter des fonds pour opérer des enfants atteints de malformations cardiaques qui ne peuvent pas être soignés dans leur pays d’origine. J’ai porté le piano de 16 kilos sur mon dos. Au sommet, j’ai joué devant les cinq personnes qui m’ont accompagné dans cette aventure. Nous étions seuls au monde. Je suppose que ce sera un peu différent plage de la Grande Conche…
Qu’allez-vous proposer au public ce samedi soir ?