Le pionnier américain du street art, quatre étages de graffiti dans un immeuble abandonné… Sur ses murs ou dans les galeries, la capitale prend un grand bol d’art pendant la belle saison.


Pionnier méconnu de la culture hip-hop au début des années 1980, l’Américain Rammellzee fut tout à la fois : un théoricien respecté du mouvement graffiti, un peintre admiré, notamment par son ami-ennemi Jean-Michel Basquiat, et un rappeur hors norme. Le Palais de Tokyo lui rend hommage via cette première rétrospective française qui reprend les grandes théories de l’artiste autour du contrôle du langage, réunit de magnifiques toiles cosmiques, en particulier celles coulées dans la résine, mais aussi, dans une scénographie soignée et immersive, son impressionnant panthéon de dieux imaginaires et de jouets de collection, audacieuses créations
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