En février, Runipsys a frôlé une nouvelle grève. La raison ? Promis en décembre 2024 avec des indemnités conséquentes obtenues grâce au bras de fer syndical, les licenciements de la dernière vague tardent à être actés. Les cinq personnes concernées se retrouvent de nouveau à tourner en rond dans l’atelier, en l’absence de travail. « Un jour, on a dit :…
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