Samedi, vers 3 h 30, ce Gémozacais de 61 ans avait fait irruption rue d’Anjou à Pons, près de Saintes, où réside son ex-femme. Il était armé de deux fusils et avait un bidon d’essence. Prévenue par son fils, la quinquagénaire avait pu alerter les gendarmes et se réfugier chez des voisins. Après avoir défoncé la porte arrière du logement de celle-ci, il se retrouvait confronté à deux militaires. Le forcené ne posait pas son arme, malgré les sommations, et tirait, blessant le chef de patrouille sur le bas du corps (100 jours d’incapacité totale de travail). Sa collègue répliquait et le touchait au fémur.