Il rappelle que ces mêmes logements servent le reste de l’année aux étudiants. Quant aux boîtes à clés accrochées sur les vélos (oui, il en a plusieurs !), il l’assume : il le fait pour ne pas être dérangé jour et nuit et parce qu’il préfère cette solution à celle des boîtes à clés scellées sur des façades historiques. Et de conclure : « Pendant ce temps, le centre-ville se vide. La loi sur la garantie des loyers impayés, imposant des revenus trois fois supérieurs au loyer, rend le logement inaccessible à beaucoup. Et nous, habitants, contribuables, parents, entrepreneurs, on reste là, à aimer cette ville malgré tout, à y investir du temps, de l’argent, de l’énergie, et parfois même des vélos. »